Avant-scène théâtre (L'), n° 870. Le nègre qui riait et qui dansait. Sa supériorité le comte Quatre-As

Sa supériorité le comte Quatre-As : Juin 1789, dans un petit village du sud de la France, marchands, paysans et artisans vivent sous le joug du Comte Alphonse Adrien Allevant de Alméras qui veut être partout le premier... et d’abord dans l’ordre alphabétique. Le comte, surnommé « Quatre-As » par ses sujets aime bien ses trois filles, mais il n’aime pas les vérités nouvelles qui éclairent les gens du peuple et qui ont été portées à leurs oreilles par Arthur Verlaine, le colporteur... Pour étouffer la voix de ce dernier, le comte va le faire enfermer. Les villageois déliveront-ils le colporteur ? Se débarrasseront-ils du comte ?... (durée : 1 heure et 15 minutes - 11 hommes / 13 femmes) Le Nègre qui riait et qui dansait : Un vieil Africain sénégalais, la nuit, sur une plage, dévide la mémoire de la traite des Noirs d’Afrique. Un adolescent, son petit-fils, l’écoute, fatigué sans doute d’entendre le vieil homme ressasser ce malheur de trois siècles, ce malheur de quinze millions de nègres sacrifiés. La voix du vieil homme s’impose à l’adolescent et raconte - chœurs, danses, scènes jouées - la capture de Samba - le nègre qui riait et qui dansait - et de sa fiancée, par d’autres Noirs, l’embarquement pour les Antilles à partir de Gorée, dans les bétaillères flottantes de la honte... (durée : 1 heure et 15 minutes - 10 hommes / 14 femmes)